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IA générative souveraine – mon test de la solution d'Infomaniak

En lisant la newsletter de février 2024 d'Infomaniak (un des leaders suisses de l'hébergement web et du cloud computing, basé à Genève), j'ai découvert que cette entreprise lançait un service d'intelligence artificielle (IA) générative souveraine [1]. Il m'a fallu moins d'une heure de développement pour commencer mes premiers tests. Pour ce faire, j'ai dupliqué et adapté l'application web que j'avais développée durant l'été 2023, afin d'interfacer ce blog avec l'API de ChatGPT d'OpenAI.

 

L’IA générative souveraine d'Infomaniak

Depuis peu, Infomaniak commercialise les services d'une IA générative (genAI) via une API (Application Programming Interface en anglais) qui donne accès au modèle Mixtral 8x7B, un grand modèle de langage (large language model ou LLM en anglais) développé par l'entreprise française Mistral AI.

Bien qu'une image vaille toujours plus que des mots (le service d'Infomaniak ne permet pas encore de générer des images), je vais donc comparer, à travers un exemple pratique, le service genAI d'Infomaniak basé sur le LLM de Mistral AI à GPT-4 (via l'API ainsi que l'application web de chat) d'OpenAI, et à Gemini, le successeur de Bard chez Google.

 

Retour d'expérience

Cette analyse est subjective et basée sur mes impressions personnelles des textes générés par l'IA, sans compétences scientifiques spécifiques. Elle compare des générations différentes de GPT, Mixtral 8x7B étant souvent comparé à ChatGPT 3.5. Cette analyse est à prendre comme une opinion plutôt qu'une évaluation technique.

Chaque semaine, pour alimenter mon blog "Les brèves d'Olivier", je rédige une chronique et je partage les liens des articles que j'ai lu durant la semaine. Le thème de ma chronique cette semaine est la "souveraineté numérique", un sujet qui a suscité de vifs débats début 2021, lorsque la confédération a attribué un marché de 110 millions de francs suisses à quatre acteurs américains et un acteur chinois pour son "Swiss cloud" [2, 3]. Avec l'essor des services d'IA générative, ce sujet est de nouveau d'actualité, car les données utilisées pour entraîner l'IA influencent les réponses produites par ces machines.

Personnellement, depuis plus de six mois, j'utilise la genAI uniquement comme outil d'aide à la rédaction, pour accélérer le processus. Pour chaque article que je publie, je commence par définir le sujet, puis je recherche des sources. Je demande ensuite à l'IA de résumer chaque source, de lister les arguments utilisés, etc. Une fois que j'ai suffisamment de matière, je rédige des notes sous forme de puces ou de paragraphes, puis je demande à l'IA d'écrire un article basé sur ces dernières. Finalement, je relis et adapte le contenu, jusqu'à ce qu'il me convienne pour la publication.

Pour ma chronique sur la souveraineté numérique, je tenais à utiliser la réponse générée par le service d'IA générative d'Infomaniak. Malheureusement, après 8 tentatives, je n'ai pas été satisfait du résultat et ai donc opté pour le texte produit via l'API de ChatGPT, qui nécessitait moins d'adaptation avant publication.

Avec Mixtral, j'ai fait 8 tentatives, car je trouvais le texte trop sec, trop formel. Pour mes chroniques, je souhaite que le lecteur puisse lire un texte fluide et agréable, pas trop formel et certainement pas scolaire, en moins de 3 minutes. Pour ce faire, j'ai essayé de donner à Mixtral des instructions plus claires quant au style rédactionnel souhaité, avec des directives telles que : "emploie un ton engageant, assure une transition fluide entre les paragraphes, fournis des explications claires des termes techniques". J'ai également joué sur le paramètre de température pour donner à l'IA plus de liberté dans le choix des mots. En plus de ces problèmes de style, j'ai été confronté à des problèmes de longueur, et la machine a dû couper sa réponse de manière abrupte. Malgré ces tentatives, comme dit précédemment, mon choix s'est porté sur le texte rédigé à l'aide de l'API de ChatGPT. J'utilise cette dernière depuis des mois, et je trouve que le style rédactionnel correspond à celui que j'utilise depuis une quinzaine d'années. Quant à Gemini de Google, il m'a totalement déçu, n'ayant fait qu'ajouter des mots de liaison autour des notes que je lui avais fournies, sans même essayer de rédiger une chronique. Finalement, la version web de ChatGPT me frustre généralement, car elle  ajoute trop de remplissage et de politesses inutiles autour des demandes que je lui fais. Je trouve ce service de genAI moins prédictible que la version via l'API d'OpenAI.

 

Mon classement des IA génératives grand public

En ce début février 2024, si je devais classer les quatre IA testées dans cet article, mon classement serait le suivant :

  1. ChatGPT via l'API, pour le plaisir procuré lors de la lecture des productions.
  2. Mixtral via l'API d'Infomaniak, pour la souveraineté numérique.
  3. ChatGPT version web, pour la facilité d'utilisation.
  4. Gemini de Google, pour avoir un produit concurrent.

 

Conclusion

Pour conclure cette réflexion, je pense que développer la souveraineté numérique en Suisse est vital pour notre économie, si nous ne voulons pas devenir de simples figurants dans l'économie mondiale de demain. Un proverbe africain dit : "Pour savoir où l'on va, il faut savoir d'où l'on vient". Utiliser des solutions conçues et développées en Europe, tenant compte de notre histoire, est primordial si nous souhaitons que l'IA réponde à nos besoins futurs, en prenant en compte notre culture et notre savoir-faire. Personnellement, je vais continuer à tester Mixtral 8x7B via l'API d'Infomaniak et, qui sait, dans quelques semaines, je pourrais publier ma première chronique à l'aide de cette IA.

 

Mise en œuvre du cas pratique – chronique sur la souveraineté numérique

Sources pour la chronique des brèves d'Olivier sur la souveraineté numérique:

 

Prompt pour la chronique: Souveraineté numérique

Peux-tu rédiger une chronique de 350 mots, en partant de mes notes entre dollars ci-après.

Notes: $Souveraineté numérique

Définissions la souveraineté numérique: «le développement d’une autonomie stratégique en matière de numérique».

Concrètement utiliser et contrôler de manière autonome les infrastructures (serveurs) et les services numériques (une fonctionnalité digitalisée comme: acheter un billet de train ou envoyer un e-mail à un ami ou partager des photos, etc.).

Souveraineté numérique perception limitée à la dimension technologique (en particulier logicielle et matérielle), doit inclure également la souveraineté des données, qui désigne la capacité à contrôler et à utiliser de manière autodéterminée ces dernières.

Avènement du web 2.0 a concentré nos données (ce nouvel or noir) entre les mains de quelques gros acteurs les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft).

Techniquement l’Asie contrôle le hardware, avec les fonderies de processeur. Crise du COVID dépendance à ces acteurs avec une pénurie de puces électroniques qui a particulièrement touché l’industrie automobile.

Pour accéder au numérique besoin d’un système d’exploitation (OS ou operating system en anglais) comme Windows, Mac OS, iOS ou Android, dépendant des américains pour cette couche essentielle. HarmonyOS NEXT de Huawei est la réponse de ce géant chinois des télécommunications, à l’interdiction que Trump a décrété à l’encontre de Huawei de faire appel aux technologies américaines.

Intelligence artificielle (IA) ne fait pas défaut à cette souveraineté numérique et à nouveau, les leaders du marché comme OpenAI avec ChatGPT, Microsoft avec Copilot ou Google avec Gemini, Midjourney pour les images sont tous américains. Aucun autre acteur de l’IA n’a réussi à percer pour prendre une part conséquente de ce nouveau gâteau.

Le français Mistral AI avec sa solution Mixtral 8x7B offre une solution prometteuse.

Infomaniak, un des leaders suisses de l’hébergement web et du cloud computing, commercialise depuis quelques jours un service d’IA générative (genAI) qui s’appuie sur Mixtral, afin de répondre à ce besoin de souveraineté numérique. En matière d’IA la souveraineté numérique est aussi importante.

Nous n’avons pas tous les mêmes références historiques ou culturelles. Le journal le Monde rapporte les propos de Cédric O, lobbyiste de Mistral AI et ex-secrétaire d’Etat, "un robot conversationnel attribuera, en fonction de son pays d’origine, l’invention de l’avion au Français Clément Ader, aux frères américains Orville et Wilbur Wright ou au Brésilien Alberto Santos-Dumont".

Pour éviter d’être sous le joug d’une puissance étrangère en matière de numérique, soutenons les projets nationaux et européens!$

 

Réponse de Mixtral 8x7B via l'API d'infomaniak

La souveraineté numérique est un concept crucial dans notre société moderne, où la dématérialisation des services et la numérisation des données deviennent omniprésentes. En Suisse, on peut définir la souveraineté numérique comme le développement d'une autonomie stratégique en matière de numérique, comprenant non seulement les infrastructures matérielles et logicielles mais également la gestion autodéterminée des données. Malheureusement, la perception de cette souveraineté numérique se limite souvent à sa dimension technologique, négligeant ainsi l'importance croissante de la souveraineté des données.

Avec l'arrivée du Web 2.0, une grande quantité de données personnelles ont été centralisées entre les mains d'acteurs majeurs tels que les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, et Microsoft). Cette concentration pose un risque important en termes de confidentialité, de neutralité et de concurrence. Techniquement, l'Asie domine le secteur industriel du hardware, notamment les fonderies de processeurs, rendant ainsi les nations occidentales fortement dépendantes. La crise sanitaire mondiale due au Covid-19 a mis en lumière cette dépendance lorsqu'une pénurie de puces électroniques a sévèrement impacté l'industrie automobile.

Un aspect fondamental de la souveraineté numérique réside dans les systèmes d'exploitation (OS) indispensables pour accéder aux services numériques. Les principaux OS disponibles sur le marché mondial, comme Windows, macOS, iOS, et Android, sont majoritairement issus des États-Unis, créant ainsi une nouvelle forme de dépendance. Pour y remédier, certains acteurs tentent de développer leurs propres solutions alternatives ; par exemple, HarmonyOS Next de Huawei, lancé en réponse à l'interdiction imposée par Donald Trump empêchant la firme chinoise de collaborer avec des fournisseurs technologiques américains.

Il est primordial de considérer la souveraineté numérique dans le cadre de l'intelligence artificielle (IA) car elle influence directement les algorithmes et modèles linguistiques utilisés par ces technologies. Actuellement, les leaders du marché de l'IA, dont OpenAI avec ChatGPT, Microsoft avec CoPilot, ou encore Google avec Gemini et Midjourney, sont principalement originaires des États-Unis. Il existe toutefois des initiatives prometteuses provenant d'autres régions, telles que celle du français Mistral AI avec sa solution Mixtral 8x7B. Récemment, Infomaniak, leader suisse de l'hébergement web et du cloud computing, a commencé à commercialiser un service d'IA générative reposant sur Mixtral, visant ainsi à encourager la souveraineté numérique nationale et européenne.

La diversification des sources d'innovation en IA permettrait d'éviter qu'un État étranger impose ses normes et valeurs culturelles via ses outils numériques. Par exemple, un assistant virtuel développé aux États-Unis sera plus susceptible d'attribuer l'invention de l'aviation aux frères Wright plutôt qu'à Alberto Santos-Dumont, un inventeur brésilien ayant réalisé le premier vol motorisé et contrôlé en Europe en 1906. Soutenir des projets locaux et européens contribue donc à garantir une véritable souveraineté numérique et préserver ainsi notre identité culturelle et historique.

 

Réponse de ChatGPT 4 turbo via l'API d'OpenAI

Dans l'ère actuelle, où les données sont le nouveau pétrole et les infrastructures numériques les nouveaux pipelines, la question de la souveraineté numérique se pose avec acuité. La Suisse, consciente de ces enjeux, définit sa souveraineté numérique comme « le développement d’une autonomie stratégique en matière de numérique ». Cela implique non seulement l'usage et le contrôle autonome des infrastructures et services numériques, mais également la maîtrise des données. Dans un contexte où les géants technologiques, principalement les GAFAM, concentrent une large part de nos informations personnelles, cette préoccupation est de plus en plus pertinente.

La crise du COVID-19 a mis en lumière la dépendance de secteurs clés comme l'industrie automobile à l'égard des fonderies de processeur asiatiques. Cette pénurie a rappelé l'importance vitale d'une chaîne d'approvisionnement résiliente et diversifiée. Sur le front des systèmes d'exploitation, des alternatives comme HarmonyOS de Huawei cherchent à briser le monopole américain, mais l'Europe et la Suisse doivent encore renforcer leur position.

 

L'intelligence artificielle (IA) est un autre domaine où la souveraineté numérique est cruciale. Alors que des entreprises américaines dominent le marché avec des technologies de pointe telles que ChatGPT ou Gemini, la Suisse et l'Europe cherchent à se tailler une place. La solution Mixtral 8x7B de Mistral AI est un exemple de cette ambition. Infomaniak, leader suisse dans le domaine de l'hébergement web, s'est emparé de cette opportunité en intégrant la technologie genAI, basée sur Mixtral, à son offre.

Ce mouvement vers l'indépendance numérique n'est pas seulement une question de technologie; il touche également à l'identité culturelle et historique. Comme l'illustre l'exemple rapporté par Cédric O, la perception de l'histoire peut varier selon l'origine du robot conversationnel. Ainsi, la souveraineté numérique devient un enjeu de diversité culturelle et de pluralisme.

Pour contrer la domination d'une puissance étrangère dans l'univers numérique, il est impératif de soutenir les initiatives locales et européennes. Les gouvernements, les entreprises et les citoyens doivent être conscients de l'impact de la souveraineté numérique sur leur indépendance et leur identité. Des projets comme genAI d'Infomaniak et Mixtral 8x7B de Mistral AI constituent des pas dans la bonne direction, mais un effort concerté est nécessaire pour assurer une véritable autonomie numérique. La souveraineté numérique n'est pas seulement une affaire d'infrastructures et de services; c'est un choix stratégique pour l'avenir.

 

Réponse de ChatGPT 4 via l'application web d'OpenAI

La souveraineté numérique en Suisse, et par extension en Europe, est un enjeu majeur du XXIe siècle, incarnant la quête d'une autonomie stratégique dans le domaine numérique. La définition de cette souveraineté ne se cantonne pas uniquement à la possession des infrastructures technologiques telles que les serveurs ou les services numériques; elle englobe également la maîtrise et le contrôle des données personnelles et professionnelles, désormais considérées comme le nouvel or noir de notre ère.

L'importance de la souveraineté numérique réside dans la capacité à utiliser et contrôler de manière indépendante ces ressources, allant de simples actions comme acheter un billet de train en ligne à des opérations plus complexes telles que le partage de photos ou l'envoi d'emails. Cette autonomie est cruciale dans un contexte où les données personnelles sont massivement concentrées entre les mains des géants du web, les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), soulignant une dépendance préoccupante vis-à-vis de ces acteurs majoritairement américains.

La crise du COVID-19 a mis en lumière cette dépendance, notamment avec la pénurie de puces électroniques, exacerbant les vulnérabilités de secteurs clés tels que l'industrie automobile. Cette situation est d'autant plus critique que l'accès aux technologies numériques repose sur des systèmes d'exploitation dominés par les entreprises américaines, avec des alternatives comme HarmonyOS de Huawei émergeant en réponse à des restrictions commerciales internationales.

Dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA), cette domination américaine se confirme avec des entités telles que OpenAI, Microsoft, et Google menant le marché. Néanmoins, l'émergence de solutions européennes, à l'instar de Mixtral 8x7B de Mistral AI, et les initiatives suisses comme celle d'Infomaniak, qui s'appuie sur Mixtral pour son service d'IA générative, signalent un éveil européen face à cette hégémonie.

La souveraineté numérique dépasse le simple cadre technologique pour toucher à des aspects culturels et historiques, comme le souligne l'exemple cité par le Monde concernant les attributions divergentes de l'invention de l'avion selon l'origine du robot conversationnel. Ce point met en exergue la nécessité de développer des technologies reflétant les diversités culturelles et historiques, afin d'éviter une uniformisation sous l'influence d'une poignée d'acteurs globaux.

En conclusion, le soutien aux initiatives nationales et européennes en matière de numérique est impératif pour garantir une souveraineté numérique robuste. Cette démarche est essentielle non seulement pour préserver l'autonomie stratégique dans l'utilisation des technologies numériques mais aussi pour maintenir une diversité culturelle face à une mondialisation technologique dominée par quelques acteurs majeurs. C'est dans cette perspective que s'inscrit la lutte pour une souveraineté numérique, un combat crucial pour l'indépendance et l'identité européenne à l'ère du numérique.

 

Réponse de Gemini de Google

La souveraineté numérique, définie comme le développement d'une autonomie stratégique en matière de numérique, est un enjeu de plus en plus crucial pour notre avenir. Elle ne se limite pas à la simple utilisation et contrôle des infrastructures et services numériques, mais inclut également la souveraineté des données, c'est-à-dire la capacité à contrôler et à utiliser de manière autodéterminée nos données.

L'avènement du web 2.0 a concentré nos données, ce nouvel or noir, entre les mains de quelques géants américains, les GAFAM. Techniquement, l'Asie contrôle le hardware, avec les fonderies de processeurs. La crise du COVID a mis en lumière notre dépendance à ces acteurs, avec la pénurie de puces électroniques qui a particulièrement touché l'industrie automobile.

Pour accéder au numérique, nous avons besoin d'un système d'exploitation (OS), comme Windows, Mac OS, iOS ou Android, tous dépendants des Américains. HarmonyOS NEXT de Huawei est une réponse à cette dépendance, mais il reste encore du chemin à parcourir.

L'intelligence artificielle (IA) est un autre domaine où la souveraineté numérique est essentielle. Les leaders du marché, comme OpenAI, Microsoft et Google, sont tous américains. Le français Mistral AI avec sa solution Mixtral 8x7B offre une alternative prometteuse, et Infomaniak, un leader suisse de l'hébergement web et du cloud computing, propose un service d'IA générative s'appuyant sur Mixtral.

En matière d'IA, la souveraineté numérique est aussi importante que pour les autres aspects du numérique. Il est crucial de soutenir les projets nationaux et européens pour ne pas être sous le joug d'une puissance étrangère.

La souveraineté numérique n'est pas qu'une question de technologie, elle est aussi une question de culture et d'histoire. Cédric O, lobbyiste de Mistral AI et ex-secrétaire d'Etat, souligne que "un robot conversationnel attribuera, en fonction de son pays d'origine, l'invention de l'avion au Français Clément Ader, aux frères américains Orville et Wilbur Wright ou au Brésilien Alberto Santos-Dumont".

Pour garantir notre liberté et notre indépendance dans le monde numérique, il est essentiel de prendre conscience des enjeux de la souveraineté numérique et de soutenir les initiatives qui visent à la renforcer.

 

 

[1] Infomaniak, LLM API - Intégrez une IA générative souveraine dans vos applications, https://www.infomaniak.com/fr/hebergement/llm-api, consulté en ligne le 7 février 2024

[2] Anouch Seydtaghia, Le Temps, Le «Swiss cloud», une stratégie illisible à 110 millions de francs,  https://www.letemps.ch/economie/cyber/swiss-cloud-une-strategie-illisible-110-millions-francs, publié le 20 janvier 2021, consulté en ligne le 10 février 2024

[3] Chancellerie fédérale, L’administration fédérale met en œuvre la Stratégie d’informatique en nuage en vue d’une utilisation efficace et ordonnée de services dématérialisés, https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-85828.html, publié le 10 novembre 2021, consulté en ligne le 11 février 2024

Image générée par Dall-e

 

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