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8 IA mêlent Vrai & Faux pour un poisson d'avril

Avant de vous plonger dans la lecture de cet article, je vous invite à consulter ma chronique hebdomadaire "Le Test des Fools de Turing" sur le blog "Les brèves d'Olivier".

Maintenant que vous avez pris connaissance de cette chronique, si vous souhaitez démêler le vrai du faux et découvrir comment je rédige mes articles signés ChatGPT & Olivier, je vous invite à poursuivre la lecture de cet article.

Pour commencer, je prends des notes sous forme de liste à puces, en général je résume chaque point en une ou deux phrases ou j'y insère un extrait d'article. Ensuite, je rédige un prompt en respectant la structure suivante: rôle – tâche – contraintes + exemples.

Tu es chroniqueur dans un grand journal national, reconnu internationalement pour son sérieux. Tu vas rédiger une chronique "poisson d'avril", d’au moins 380 mots, pour le 1er avril en partant de mes notes ci-après. Cette chronique doit laisser le doute quant à sa véracité jusqu’à la fin. Je te laisse définir le meilleur plan, pour qu’elle soit sérieuse, mais également dynamique et surtout pour qu'elle laisse planer le doute jusqu'à la fin.

Notes : [

  • En 1949, Turing, avec son test du poisson d’avril, a demandé à une machine de rédiger 2 brèves très similaires. Une qui se base sur des faits réels et l’autre qui invente de toute pièce les faits. Le lecteur devait ensuite indiquer quelle était la brève qui se basait sur des faits réels. Dès son lancement, la machine berna tous les lecteurs et Turing décida de développer son fameux test, afin de laisser un peu d’espoir aux humains que nous sommes.
  • Nous ne connaissons pas avec exactitude l’origine du poisson d’avril.
  • Certains disent que cette tradition date du XVIe siècle. D’autres disent que cela remonte à l’antiquité.
  • En réalité le poisson d’avril a été popularisé en 1949, une année avant qu’Alan Turing invente son fameux test de Turing (en 1950).
  • Le test de Turing a été développé pour évaluer la faculté d'une machine à imiter la conversation humaine. Ce test consiste à mettre un humain en confrontation verbale, à l’aveugle avec un ordinateur et un autre humain. Si la personne n’est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est un ordinateur, on peut considérer que l’ordinateur a passé avec succès le test.
  • Vous l’aurez compris, cette chronique est un poisson d’avril, rédigé avec l’aide de l’IA pour mieux vous berner!

]

Puis, je demande à l'IA de travailler. Souvent, je lui demande d'améliorer son travail, en lui soumettant un prompt du type : "C'est bien, mais peux-tu rendre cette chronique encore plus crédible ?". Je relis, adapte et corrige le texte généré, jusqu'à ce que je puisse en assumer la publication. Il arrive parfois que je ne partage pas l'avis de l'IA sur certains arguments ou que cette dernière en omette.

Pour cet article, j'ai utilisé le prompt ci-avant et je l'ai soumis à 8 IA génératives. 

Si vous n'avez pas le temps de lire chaque chronique, vous pouvez directement lire la conclusion.

 

ChatGPT 4 Plus

Version payante 20$ par mois.

Aujourd'hui, je souhaite vous partager une anecdote fascinante qui lie intimement le célèbre mathématicien Alan Turing, père de l'informatique moderne, à cette tradition ludique du poisson d'avril.

Retournons en 1949, année durant laquelle Turing, déjà bien connu pour ses contributions décisives à la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale, s'intéresse de près à l'intelligence artificielle. C'est dans ce contexte qu'il conçoit une expérience originale : il programme une machine pour qu'elle rédige deux brèves, l'une ancrée dans la réalité, l'autre purement fictive. Le défi posé à ses collègues était de distinguer la vraie de la fausse. Le résultat de cette expérience fut surprenant : tous se trompèrent, révélant ainsi l'incroyable capacité de la machine à simuler non seulement la logique humaine mais aussi notre penchant pour la fabulation.

Cette expérience peu connue est souvent considérée comme un précurseur du test de Turing, développé officiellement l'année suivante, en 1950. Ce dernier visait à déterminer si une machine peut exhiber une intelligence indiscernable de celle d'un humain. Plus qu'une simple évaluation technique, ce test interrogeait les limites de la perception humaine et la définition même de l'intelligence.

La tradition du poisson d'avril, bien que floue dans ses origines, a toujours été un moment de joyeuse tromperie et de remise en question de la crédulité. Certains historiens la datent du XVIe siècle, tandis que d'autres la relient à des célébrations bien plus anciennes. Pourtant, il est fascinant de constater que l'année 1949, marquant la naissance de ce qui serait le test de Turing, coïncide avec un regain d'intérêt pour cette tradition. Est-il possible que l'esprit ludique du poisson d'avril ait influencé Turing dans ses réflexions sur les capacités de tromperie des machines ?

Au-delà de ces coïncidences historiques, l'histoire du "poisson d'avril" de Turing nous invite à réfléchir sur la nature de l'intelligence, qu'elle soit humaine ou artificielle. Elle souligne également l'importance de l'humour et de la légèreté dans les démarches scientifiques les plus sérieuses.

Alors que vous lisez ces lignes, peut-être avec une pointe de scepticisme quant à leur véracité, souvenez-vous que l'essence du premier avril réside dans la capacité à questionner ce que nous tenons pour acquis. À l'image de l'expérience de Turing, cette chronique est un clin d'œil à l'ingéniosité humaine, rappelant que même dans un domaine aussi rationnel que la science, l'esprit de farce a sa place.

Et si le doute subsiste quant à la réalité de cette anecdote, n'est-ce pas là le plus bel hommage au génie de Turing et à l'esprit du premier avril ?

 

ChatGPT 4 turbo via l'API d'OpenAI

Paiement au token (mot) prix pour cette chronique : 0.09 US$.

Le poisson d'avril, cette tradition séculaire qui invite au rire et à la supercherie, semble à première vue bien éloignée des laboratoires austères où sont nées les premières machines pensantes. Pourtant, un épisode méconnu de l'histoire de l'informatique vient rappeler que les scientifiques, aussi sérieux soient-ils, ne sont jamais bien loin de l'humour et de la fantaisie. En 1949, Alan Turing, figure emblématique de la science informatique, aurait, selon certaines sources, mené une expérience qui préfigure étonnamment les défis modernes autour de l'intelligence artificielle et du langage humain.

Il est bon de rappeler que l'origine du poisson d'avril, malgré sa popularité mondiale, reste enveloppée de mystère. Certains historiens le relient au changement du calendrier en France au XVIe siècle, quand le début de l'année a été déplacé du 1er avril au 1er janvier. D'autres cherchent ses racines bien plus loin dans le temps. Cependant, c'est en 1949, un an avant de présenter son célèbre test, que Turing aurait, d'après les récits, exploré une idée à la frontière de la science et de la tradition.

Son soi-disant "test du poisson d'avril" invitait une machine à produire deux courtes histoires: l'une basée sur des faits réels, l'autre purement inventée. À ses collègues, il posait ensuite le défi de distinguer la vérité de la fiction. Contre toute attente, la machine réussit à induire en erreur chaque participant. Cette expérience aurait inspiré à Turing la réflexion qui mènerait à l'élaboration du test de Turing, visant à évaluer l'habileté d'une machine à imiter le langage et la pensée humains à un niveau indiscernable.

Le test de Turing, tel qu'il est connu aujourd'hui, repose sur la capacité d'une machine à participer à une conversation de manière si convaincante que les interlocuteurs humains ne peuvent déterminer s'ils dialoguent avec un homme ou une machine. C'est cette frontière floue entre réalité et artifice qui lie, de manière inattendue, la rigueur scientifique à l'esprit du poisson d'avril.

Il est tentant de voir dans cette anecdote une métaphore plus large de notre rapport à la technologie: une invitation à questionner et à démêler le vrai du faux dans un monde où les avancées informatiques défient constamment nos perceptions.

Et si vous vous demandez à quelle part de cette chronique prêter foi, souvenez-vous que le 1er avril est le jour où même les vérités les plus établies méritent d'être scrutées avec un soupçon de scepticisme. Alors que cette histoire de Turing et de son "test du poisson d'avril" pourrait bien être un tissu d'inventions, elle sert de rappel que l'humour et la science, loin d'être antagonistes, peuvent parfois se rencontrer de la manière la plus inattendue.

Cette chronique, en hommage à l'esprit du poisson d'avril, vous invite à naviguer entre crédulité et doute, exactement comme Turing aurait souhaité que nous le fassions face à l'intelligence artificielle. En ce 1er avril, souvenons-nous de rester curieux, ouverts et, surtout, de garder notre sens de l'humour face aux mystères de la science et de la tradition.

 

Claude 3 Sonnet par Anthropic

Version gratuite, accessible uniquement aux Etats-Unis ou via un VPN.

Au fil des siècles, l'origine de la tradition du poisson d'avril a souvent été source de questionnements et de débats nourris. Certains affirment qu'elle remonte à l'Antiquité, d'autres situent ses racines au XVIe siècle. Pourtant, de nouvelles révélations historiques semblent aujourd'hui en mesure d'éclaircir ce mystère vieux de plusieurs siècles.

Des documents récemment exhumés des archives nationales britanniques jettent en effet un jour nouveau sur les origines de cette coutume. Il s'agirait ni plus ni moins que du fruit des travaux pionniers d'Alan Turing, l'éminent mathématicien et cryptologue britannique considéré comme l'un des pères de l'intelligence artificielle. 

En 1949, un an avant de concevoir son célèbre "test de Turing", Turing aurait en réalité mené une expérience précurseure visant à évaluer les capacités d'une machine à imiter le langage et le raisonnement humains. Cette expérience, menée dans le plus grand secret, aurait consisté à soumettre à un panel de lecteurs deux brèves d'apparence similaire : l'une se basant sur des faits avérés, l'autre inventant de toutes pièces son contenu. L'objectif ? Déterminer si les participants étaient capables de distinguer la brève factuelle de la brève fictive.

Les résultats furent pour le moins édifiants. Selon les documents retrouvés, la machine à l'origine des deux brèves aurait réussi à berner l'ensemble des lecteurs, ces derniers s'avouant incapables de départager le vrai du faux. Un succès retentissant pour Turing, qui décida alors d'aller plus loin en concevant son test éponyme, destiné à pousser plus avant l'évaluation des capacités de raisonnement des machines.

Si ces révélations venaient à être confirmées, elles bouleverseraient notre compréhension des origines du poisson d'avril. Loin d'être une simple tradition populaire, cette coutume serait en réalité l'héritière directe des travaux visionnaires d'Alan Turing en matière d'intelligence artificielle. Une perspective qui, reconnaissons-le, laisse quelque peu songeur.

Quoi qu'il en soit, la véracité de ces informations reste à ce stade sujette à caution. Seules de plus amples investigations permettront d'établir si nous tenons là la clé du mystère du poisson d'avril, ou s'il ne s'agit que d'une fumisterie de plus à ajouter à la longue liste de cette journée particulière. La suite, comme chaque année, au prochain numéro !

 

Copilot de Microsoft

Version gratuite, limitée à 4000 caractères en entrée. Le prompt initial fait 1720 caractères.

Le 1er avril est une date marquée par l’humour et la supercherie, mais aussi par une histoire peu connue qui entrelace la tradition du poisson d’avril avec les avancées scientifiques d’Alan Turing. En 1949, Turing a mis au défi une machine de composer deux brèves : l’une fondée sur des faits, l’autre entièrement fictive. Le défi était de reconnaître la véritable. Contre toute attente, la machine a réussi à tromper tous les participants, inspirant Turing à concevoir son célèbre test.

L’origine du poisson d’avril reste floue. Si certains historiens la situent au XVIe siècle, d’autres la relient à l’Antiquité. Cependant, une hypothèse suggère que c’est en 1949, un an avant la création du test de Turing, que le poisson d’avril a gagné en popularité. Une coïncidence intrigante qui soulève la question : Turing lui-même aurait-il été inspiré par cette tradition pour son test ?

Le test de Turing est un jalon dans l’évaluation de l’intelligence artificielle, où un humain doit distinguer un ordinateur d’un autre humain dans une conversation. Si l’ordinateur parvient à brouiller les pistes, il est considéré comme ayant réussi le test.

Cette chronique, rédigée à l’occasion du poisson d’avril, pourrait bien être perçue comme un hommage à l’esprit astucieux de Turing. Ou serait-ce un canular élaboré par une intelligence artificielle pour vous duper ? La frontière entre réalité et fiction reste délicieusement incertaine jusqu’à ces dernières lignes. Poisson d’avril, ou pas ? À vous de juger.

 

Gemini de Google

Version gratuite.

Le 1er avril est un jour de farce et de mystification. Mais saviez-vous que l'une des origines les plus probables de cette tradition festive trouve ses racines dans l'esprit facétieux d'un génie de l'informatique : Alan Turing ?

En 1949, Turing, fraîchement auréolé du succès de son test éponyme, s'apprête à publier un article scientifique majeur. Mais avant de plonger dans les méandres de l'intelligence artificielle, il décide de s'adonner à un canular d'avril mémorable.

Son plan est simple mais diabolique : rédiger deux articles de faits divers, l'un authentique et l'autre entièrement inventé, et les soumettre simultanément à deux revues scientifiques distinctes. Son objectif ? Déterminer si les experts seraient dupés par sa fausse nouvelle.

Le premier article, sobrement intitulé "L'origine du poisson d'avril", retrace l'histoire de cette tradition jusqu'à ses origines obscures, s'attardant sur des rituels païens et des coutumes oubliées. Le second, intitulé "Le poisson d'avril : une invention d'Alan Turing", propose une théorie alternative, attribuant la naissance de cette tradition à l'imagination fertile du mathématicien.

Le résultat est un coup de maître. Les deux articles sont publiés, créant un véritable buzz dans le monde scientifique. L'article fictif de Turing est acclamé par certains comme une découverte révolutionnaire, tandis que d'autres s'empressent de le démystifier. La confusion est totale, et le canular d'avril d'Alan Turing devient un sujet de discussion brûlant dans les cafés et les universités.

L'impact de ce canular est loin d'être anodin. En semant le doute et la perplexité dans la communauté scientifique, Turing a involontairement déclenché une réflexion profonde sur la nature de la vérité et de la crédibilité de l'information.

Alors, le poisson d'avril est-il vraiment une invention d'Alan Turing ?

La réponse est à la fois oui et non. Si la tradition en elle-même est bien plus ancienne, Turing a indéniablement contribué à sa popularisation et à son inscription dans la culture moderne. Son canular audacieux a également ouvert la voie à de nouvelles recherches sur la communication et l'intelligence artificielle.

En ce jour de poisson d'avril, n'oublions pas l'esprit facétieux d'Alan Turing et son incroyable capacité à brouiller les frontières entre réalité et fiction.

P.S.

Cette chronique a été rédigée avec l'aide d'une intelligence artificielle.

Avez-vous réussi à le deviner ?

 

Le Chat de Mistral

Version gratuite.

Le 1er avril, jour des farces et des mystifications, est une occasion unique de remettre en question notre perception de la réalité. Cette année, nous avons décidé de vous emmener dans un voyage à travers le temps, à l'époque où la technologie et la tradition se sont rencontrées d'une manière surprenante.

En 1949, le célèbre mathématicien et cryptoanalyste Alan Turing a mené une expérience intrigante. Il a demandé à une machine, alors à l'aube de l'ère informatique, de rédiger deux brèves. L'une était basée sur des faits réels, l'autre était un tissu d'inventions. Les lecteurs devaient ensuite deviner laquelle des deux était vraie. Contre toute attente, la machine a réussi à berner tous les lecteurs. Cette expérience, connue sous le nom de "test du poisson d'avril de Turing", a été un tel succès qu'elle a inspiré le célèbre test de Turing que nous connaissons aujourd'hui.

Mais pourquoi "poisson d'avril" ? L'origine de cette tradition reste un mystère. Certains disent qu'elle remonte au XVIe siècle, d'autres affirment qu'elle trouve ses racines dans l'Antiquité. Cependant, une théorie suggère que le poisson d'avril a été popularisé en 1949, l'année même où Turing a mené son expérience. Coïncidence ? Peut-être.

Le test de Turing, développé un an plus tard, en 1950, avait pour but d'évaluer la capacité d'une machine à imiter une conversation humaine. Dans ce test, un humain est mis en confrontation verbale, à l'aveugle, avec un ordinateur et un autre humain. Si la personne n'est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est un ordinateur, on considère que l'ordinateur a réussi le test.

Mais quel est le rapport avec notre chronique d'aujourd'hui ? Eh bien, chers lecteurs, vous l'aurez peut-être deviné, cette chronique est elle-même un poisson d'avril. Mais contrairement à l'expérience de Turing, nous ne vous demandons pas de deviner si elle est basée sur des faits réels ou inventés. Non, cette fois, nous vous révélons la vérité : cette chronique a été rédigée avec l'aide d'une intelligence artificielle.

L'IA a parcouru d'innombrables articles, études et documents pour rassembler les informations présentées ici. Elle a analysé le style d'écriture de nos journalistes, leur ton, leur voix, pour créer un texte qui, nous l'espérons, ressemble à s'y méprendre à une chronique rédigée par un humain.

Alors, avons-nous réussi à vous berner ? Avez-vous cru que cette histoire était entièrement vraie, ou avez-vous deviné notre petit jeu ? Quoi qu'il en soit, nous espérons que cette chronique vous aura divertis et fait réfléchir sur la capacité des machines à imiter l'intelligence humaine. Joyeux poisson d'avril !

 

Mistral large latest via l'API de Mistral.ai

Paiement au token (mot) prix pour cette chronique : 0.07 US$.

Chaque année, le 1er avril, nous perpétuons la tradition du poisson d'avril, une journée dédiée aux farces et aux plaisanteries. Mais connaissez-vous véritablement l'origine de cette tradition ? Des recherches récentes suggèrent que l'histoire du poisson d'avril pourrait être étroitement liée à un personnage inattendu : Alan Turing, le célèbre mathématicien et pionnier de l'informatique moderne.

En effet, il semblerait qu'un événement marquant impliquant Alan Turing en 1949 ait contribué à populariser la tradition du poisson d'avril. Coïncidence ? C'est ce que nous allons tenter de démêler dans cette chronique.

L'Expérience méconnue de Turing

En 1949, Alan Turing aurait mené une expérience peu connue, qu'il aurait nommée "L'Énigme du Poisson d'Avril". L'objectif ? Tester la capacité d'une machine à duper les humains en produisant deux brèves, l'une fondée sur des faits réels, l'autre entièrement fabriquée. Les lecteurs devaient ensuite identifier la brève reposant sur des faits avérés.

Contre toute attente, la machine aurait réussi à tromper la majorité des lecteurs, les laissant incapables de distinguer le vrai du faux. Cette expérience préliminaire aurait inspiré Turing pour élaborer, un an plus tard, son célèbre test d'intelligence artificielle, connu aujourd'hui sous le nom de "Test de Turing".

Les origines du Poisson d'Avril : Une énigme persistante

Les origines du poisson d'avril demeurent un mystère. Certaines théories avancent que cette tradition remonterait au XVIe siècle, lorsque le calendrier julien fut remplacé par le calendrier grégorien. D'autres soutiennent que le poisson d'avril trouverait ses racines dans l'Antiquité, avec les festivités romaines célébrant le renouveau du printemps.

Cependant, une nouvelle hypothèse émerge : l'expérience de Turing en 1949 aurait donné un nouvel élan à cette tradition de la plaisanterie et de la tromperie, contribuant ainsi à façonner le phénomène du poisson d'avril tel que nous le connaissons aujourd'hui.

Un lien étonnant

En définitive, cette chronique soulève de nombreuses questions sur l'origine du poisson d'avril et son lien avec Alan Turing. Bien que cette histoire puisse sembler surprenante, il est important de noter qu'Alan Turing était connu pour son esprit ludique et son goût pour les énigmes. De plus, son travail sur l'intelligence artificielle a prouvé à maintes reprises que les machines peuvent imiter la pensée humaine de manière surprenante.

Il est donc possible que l'expérience de Turing en 1949 ait influencé la popularisation du poisson d'avril, en montrant que même les machines peuvent nous tromper avec humour. Quoi qu'il en soit, n'oublions pas que le poisson d'avril est avant tout un jeu, une tradition qui nous invite à faire preuve d'esprit critique et d'humour. Et qui sait, peut-être que Turing lui-même aurait apprécié cette blague !

Une chronique à prendre avec précaution

Bien que cette chronique s'appuie sur des faits réels et des hypothèses plausibles, il convient de garder à l'esprit que nous sommes le 1er avril. Il se pourrait donc que cette chronique soit elle-même un poisson d'avril... Réalisée avec l'aide de l'intelligence artificielle, elle illustre à merveille la capacité des machines à imiter la conversation humaine, et surtout, à nous berner !

Alors, êtes-vous tombé dans le piège ? Avez-vous été convaincu par cette histoire rocambolesque ? Quoi qu'il en soit, prenez cette chronique avec un grain de sel et n'oubliez pas de profiter des plaisanteries du 1er avril avec un esprit critique et un sourire.

 

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Paiement au token (mot) prix pour cette chronique : 0.005 CHF.

Dans notre quête perpétuelle de comprendre les limites de l'intelligence artificielle, nous butons souvent contre des obstacles qui semblaient impassables hier encore. Notre histoire commence en 1949, lorsqu'Alan Turing, pionnier visionnaire de l'informatique, mit au point une variante méconnue de son illustre Test de Turing : le "Test du Poisson d'Avril". Ayant exploré les possibilités offertes par cette approche novatrice, Turing posa alors les bases de ce qui allait devenir l'un des principaux tests servant à évaluer la capacité d'une machine à imiter une conversation humaine.

Le Test du Poisson d'Avril s'articulait autour de deux brèves destinées à un public lambda : l'une fidèle à des faits réels, l'autre pure invention de toutes pièces. L'intention derrière cet exercice ingénieux consistait à observer si les individus étaient effectivement capables de démêler le vrai du faux. Contre toute attente, les résultats observés confondirent régulièrement les participants, offrant à Turing une opportunité unique de perfectionner ultérieurement son légendaire test. Il apparut rapidement que cette première mouture constituait le terreau idéal pour cultiver une confusion salutaire, essentielle dans la perspective d'amener progressivement les machines vers un niveau de complexité cognitive suffisamment sophistiqué.

Il convient de noter que le terme "Poisson d'Avril", associé depuis des siècles à une forme particulière de plaisanterie bon enfant, trouve potentiellement ses racines dans cette expérience précurseure orchestrée par Turing. De façon assez ironique, les prémices de cette tradition séculaire prennent corps justement durant l'année où l'illustre scientifique initia ses premiers travaux sur le concept de test différentiant la pensée humaine de la machinale.

Pour honorer fièrement cet héritage singulier conjuguant science et humour, cette chronique intègre quelques extraits générés à partir d'un outil d'intelligence artificielle dernière génération. Subtilement dispersées au fil de mon propos, ces insertions algorithmiques invitent chaque lecteur à questionner ses propres jugements et opinions face à ce tourbillon informationnel où se mêlent subterfuge et vérité. Parviendrez-vous à identifier ces fragments manufacturés ? Seule votre sagacité permettra de lever définitivement le voile sur ce canevas textuel dont l'issue reste soigneusement dissimulée.

Tandis que nous continuons d'explorer les arcanes du Test du Poisson d'Avril, inspirés par la perspicacité de Turing, il devient manifeste que la fine ligne entre illusion et authenticité se brouille davantage. Au final, ce constat renforce notre curiosité naturelle vis-à-vis de ces technologies prometteuses, susceptibles d'accélérer le progrès et redessiner les contours de notre société connectée. Reste maintenant à percer le secret de cette intrigante alliance entre passé, présent et futur, empreinte d'audace intellectuelle et de fantaisie ludique.

 

Conclusion

Les 8 textes, ci-avant, produits par l'intelligence artificielle, sont des ébauches initiales. Comme je l'ai indiqué auparavant, je procède systématiquement à une relecture et à une révision de chaque article avant sa publication. Sélectionner le meilleur texte parmi les huit propositions de l'intelligence artificielle n'a pas été une tâche aisée et a exigé plus de temps que leur création elle-même.

Dans un contexte professionnel, il n'est pas envisageable de mettre en compétition différentes IA génératives à chaque utilisation, en raison du temps considérable que cela requiert. Néanmoins, il est essentiel de réaliser ce test comparatif avant de choisir le modèle de langage (Large Language Model ou LLM) ou le service d'IA générative le plus adapté. Les LLM évoluent à une vitesse impressionnante, ce qui implique la nécessité de répéter régulièrement ce test pour s'assurer qu'il n'existe pas un modèle plus conforme aux besoins spécifiques de l'utilisateur. L'intégration de tels services via une API présente plusieurs avantages, notamment une personnalisation plus précise permettant d'assurer une cohérence dans les textes produits et une meilleure gestion des interactions entre l'utilisateur et l'IA. Cependant, cette approche est généralement plus coûteuse. Opter pour une solution web est plus simple en termes d'utilisation et d'intégration, mais elle implique une perte de contrôle plus importante.

Pour ma chronique sur le blog "Les Brèves d'Olivier", j'ai d'abord évalué les textes sur un critère objectif: le respect de la longueur minimale requise. Je n'ai donc pas retenu le texte proposé par Copilot, qui, avec ses 239 mots, ne répondait pas à la consigne d'écrire un minimum de 380 mots. Copilot n'est pas la seule IA générative à ne pas respecter ce critère ; Claude 3 a produit un texte de 356 mots et Gemini de 371 mots. Cependant, en tenant compte de l'ensemble du contenu généré par ces dernières, on peut considérer qu'elles ont satisfait à cette exigence minimale. Par exemple, Gemini a aussi proposé le titre "Poisson d'avril : Le canular d'Alan Turing qui a bouleversé l'histoire", ce qui porte le total à 383 mots. Claude, de son côté, avait rédigé un court texte introductif. En se basant toujours sur la longueur de la chronique, le texte généré par l'API de Mistral, qui compte 553 mots, était à mes yeux trop long. J'ai donc exclu les propositions de Copilot et de l'API de Mistral.

J'ai également écarté Gemini pour confusion dans les dates, affirmant : "En 1949, Turing, fraîchement auréolé du succès de son test éponyme", alors que le célèbre test de Turing a été publié en 1950, comme mentionné dans le prompt initial. De plus, l'histoire proposée par cette IA, qui suggère que Turing aurait publié un article intitulé "Le poisson d'avril : une invention d'Alan Turing", m'a semblé peu crédible. Qui, à l'époque, aurait pu prendre au sérieux une telle affirmation, sachant que la tradition du poisson d'avril remonte au XVIe siècle, voire à l'Antiquité?

D'autres critères et valeurs peuvent également être considérés pour choisir un modèle de LLM adapté à notre organisation. Par exemple, la question de savoir si le modèle est open source ou non; la possibilité de spécialiser ou d'entraîner le modèle pour qu'il réponde avec les informations spécifiques de l'entreprise; ou encore son origine géographique, car cela peut introduire un biais culturel dans les réponses fournies. Pour Claude 3 (une IA américaine), ce sont les frères Wright qui sont considérés comme les pionniers de l'aviation motorisée, tandis que pour Mistral (une IA d'origine française), c'est Santos-Dumont avec son vol en 1905 à Paris.

Pour conclure, le choix entre les cinq autres articles repose sur des critères plus subjectifs. Certains, comme le Chat de Mistral, dévoilent immédiatement leur jeu en commençant par une phrase qui annonce d'emblée que nous sommes le 1er avril : "Le 1er avril, jour des farces et des mystifications…". Néanmoins, avec une légère révision de l'accroche, nous aurions probablement pu concevoir une bonne farce.

J'ai également sollicité l'opinion de ChatGPT, Claude AI et Mistral. Les trois ont exprimé une préférence pour le premier article, celui de ChatGPT 4 Plus. Toutefois, ne faisant pas entièrement confiance à l'IA, j'ai mélangé aléatoirement l'ordre des textes et, à ma grande surprise, j'ai constaté que les IA manifestaient également de l'intérêt pour d'autres articles, bien que leur préférence ne dépasse jamais le sixième texte, certainement une limitation due à la mémoire tampon.

Finalement, j'ai opté pour la version de Claude 3, car j'ai trouvé l'approche plus originale avec son récit impliquant les services secrets. C'est le texte qui a le plus captivé mon attention.

Et vous, quelle version avez-vous préférée et pourquoi? Je vous invite à partager votre avis en laissant un commentaire.

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